Divers 2021
Ce dolmen est une sépulture préhistorique datée d'environ 2500 av J.C.comme indiqué dans la notice ci-dessous.
La légende qui a donné son nom au dolmen raconte qu'un jeune génie romba amoureux d'une fée qui s'était déguisée en bergère. Elle lui demanda un gage pour
l'épouser mettre sur des pierres la belle dalle qui était non loin d'eux . Si le jeune génie réussit à mettre debout les trois pierres, il échoua à transporter la dalle et en fut dépité. La
fée alors usa de son pouvoir pour mettre la dalle en place. Le jeune génie comprit alors que la fée avait des pouvoirs bien supérieurs aux siens et se laissa périr de
désespoir.
La dernière image est donc un clin d'oeil à cette légende.
La chapelle Notre Dame de Pennafort a été construite entre 1852 et 1857 sur l'emplacement d'une précédente chapelle romane qui a été gardée comme
sacristie. la coupole est couverte en zinc le reste en tuiles rondes. La photo d'intérieur quasi vide a été prise au travers d'une fenêtre.
Cette chapelle comme la tour dite sarrazine proche, en fait une tour de guet attenante du XIème ou XIIème siècle, doivent faire l'objet d'une
importante campagne de restauration car la paroi rocheuse de l'éperon sur lequelles elles sont situées est en train de se déliter d'où des fissures comme on le voit sur la photo de la tour
prise de côté....
le Vieux revest est un village en ruines sur la commune de Sainte Maxime mais autrefois lié à Roquebrune
Voir le compte rendu sur Paca visit's -Var
le château de Taurenne proche de Tourtour a été construit au XIIème siècle par les de Blacas d'Aups.
Aujourd'hui c'est le siège d'une propriété oléicole qui compte plus de 11000 oliviers et produit une huile réputée
comme sur al phoro la Bouteillan, une variété originaire du Var.
La tour dite tour Grimaldi à Tourtour est datée du XIIème siècle également construite par la famille de Blacas pour comémmorer la bartaille de Tourtour contre les sarrazins en 973.
Voir l'annexe du document surTourtour dans Paca visit's -Var
C'est à la fin du XIXème siècle qu'un industriel, Honoré Fournial, décisa d'utiliser les gorges de la Nartuby à Trans et leur dénivelé de 15m pour produire de l'électricité. On voit encore dans la gorge les restes de l'usine hydroélectrique.
Le puits aérien de Trans en Provence construit en 1931 par un ingénieur belge Achille Knapen soucieux de trouver un approvisionnement en eau aux populations du sahel en utilisant l'humidité de l'air receuillie avec la différence de température nuit/jour permettant la condensation.
N'ayant pu réussir en Afrique il décida de construire un prototype à Trans. Au coeur du dispositif, le puits lui-même, comme on le voit sur les photos
ci-dessus : une colonne creuse évasée vers le haut, en béton et ciment, qui s'élève sur 9 mètres de haut. Au centre de celle-ci, invisible pour le visiteur, se dresse un tube métallique dépassant
de 50 centimètres l'édifice pour permettre les échanges d'air, comme une cheminée, et utiliser le refroidissement nocturne de l'air. Des tubes poreux de 3 centimètres parsèment la colonne ainsi
que 3 000 ardoises (aujourd'hui pour la plupart cassées), fixées telles des ailettes pour permettre la récupération de gouttelettes sur une surface de plus de 100 m2. Autour du puits, l'enveloppe
ovoïde en pierres calcaires, a des murs colossaux de 2.5 mètres d'épaisseur ! Ce sont eux qui fournissent la protection et la ventilation nécessaire. Car la circulation d'air est un
de points clés du dispositif. Elle est assurée par une multitude d'ouvertures dans le dôme.
Malgré l'ingéniosité du système, voir le schéma ci-dessus, il n'a jamais vraiement fonctionné et reste une curiosité.